jeudi 21 avril 2011

CHEMTRAILS. PAS PROUVÉ !?!

Il reste malheureusement beaucoup de gens dans l'ignorance du programme en cours de "mort lente et destruction de la jeunesse" pour une dépopulation mondiale  "douce et rentable".

Alors voici point par point un résumé de l'évidence de ce programme:









ÉPANDAGE QUOTIDIEN DANS TOUS LES PAYS CONTRÔLÉS PAR LE CLUB BILDERBERG:



2) Quels produits sont épandus et quelles conséquences

Pour ceux qui sont à l'aise en anglais, l'institut Carnicom est le site offrant le plus d'informations résultant des études réalisées: http://www.carnicom.com/

L'analyse des principaux produits:

- Aluminium (stérilisation de la terre où ne pourront plus pousser que les semences transgéniques de Monsanto)

- Barium (avec l'aluminium, il s'accumule dans le cerveau des jeunes enfants, participant à détruire la volonté et limiter l'intelligence)

- Polymères (permettent la création de "toiles d'araignées" pour maintenir le plus longtemps possible tous ces produits en suspension dans l'atmosphère que nous respirons)

- Bactéries, virus, globules rouges, plasma (peut varier d'un pays à l'autre comme d'un jour à l'autre selon les besoins, le plus souvent déterminés par les intérêts des multinationales pharmaco-chimiques)

- Nano robots (particules microscopiques programmées pour s'assembler et créer lentement à l'intérieur de l'organisme humain ou animal, des filaments récepteurs d'ondes en vue de l'utilisation de ces ondes pour un contrôle mental par le programme HAARP ).
Ce sont ces filaments qui ressortent parfois des organismes chez les gens situés dans les zones de plus fort épandage, ou dotés d'un système immunologique faible, provoquant ce qu'on nomme la "maladie des morgellons". Pour en savoir plus sur cette maladie et les dernières études: Dr Staninger



TOUTE PERSONNE DOTÉE D'UN CERVEAU NORMAL DOIT SE RENDRE À L'ÉVIDENCE:


-     Un programme d'une telle ampleur internationale et réalisé en catimini ne peut avoir été mis en place qu'indépendamment de tout gouvernement.

-     Aucun épandage de produits chimiques sur les populations ne pourrait avoir lieu sans l'accord du gouvernement du pays concerné (le seul gouvernement à s'y être opposé est celui de Pologne. Un accident d'avion a fait disparaître un Président qui de surcroît refusait aussi de faire vacciner sa population contre la grippe).

-     Aucun des "grands" partis politiques des pays gazés ne s'est jamais manifesté pour défendre son peuple.

-     La conclusion évidente est qu'il s'agit d'un programme mis en place par des gens au dessus des gouvernements, et avec l'accord de ceux-ci, ainsi que de tous les politiciens importants, AU GOUVERNEMENT OU DANS L'OPPOSITION!


NOTRE PASSIVITÉ EST LEUR FORCE !!!

ALLONS-NOUS CONTINUER DE LAISSER GAZER NOS ENFANTS?







dimanche 17 avril 2011

Le mouvement démosophique se répand dans le monde

Voici deux exemples flagrants où la vérité s’impose sur le mensonge, où la révolution pacifique se met en marche.

D’abord, aux USA !  C’est un général américain qui ose poser le premier pas de la révolution en dévoilant ce qu’il ne fallait surtout pas que le monde sache (c'était il y a quinze jours):



Puis, en Italie,  c’est un mouvement spontané d’un chef d’orchestre et d’un peuple (c'était il y a un mois à l'opéra de Rome):

         Nabucco de Verdi est une œuvre autant musicale que politique : elle évoque l'épisode de l'esclavage des juifs à Babylone, et le fameux chant « Va pensiero » est celui du Chœur des esclaves opprimés. En Italie, ce chant est le symbole de la quête de liberté du peuple, qui dans les années 1840 - époque où l'opéra fut écrit - était opprimé par l'empire des Habsbourg, et qui se battit jusqu'à la création de l’Italie unifiée.

          Avant la représentation, Gianni Alemanno, le maire de Rome, est monté sur scène pour prononcer un discours dénonçant les coupes dans le budget de la culture du gouvernement. Et ce, alors qu’Alemanno est un membre du parti au pouvoir et un ancien ministre de Berlusconi. Cette intervention politique, dans un moment culturel des plus symboliques pour l’Italie, allait produire un effet inattendu, d’autant plus que Sylvio Berlusconi en personne assistait à la représentation…

          Repris par le Times, Riccardo Muti, le chef d'orchestre, raconte ce qui fut une véritable soirée de révolution :

« Au tout début, il y a eu une grande ovation dans le public. Puis nous avons commencé l’opéra. Il se déroula très bien, mais lorsque nous en sommes arrivés au fameux chant Va Pensiero, j’ai immédiatement senti que l’atmosphère devenait tendue dans le public. Il y a des choses que vous ne pouvez pas décrire, mais que vous sentez. Auparavant, c’est le silence du public qui régnait. Mais au moment où les gens ont réalisé que le Va Pensiero allait démarrer, le silence s’est rempli d’une véritable ferveur. On pouvait sentir la réaction viscérale du public à la lamentation des esclaves qui chantent : « Oh ma patrie, si belle et perdue ! ».
          Alors que le Chœur arrivait à sa fin, dans le public certains s’écriaient déjà : « Bis ! » Le public commençait à crier « Vive l’Italie ! » et « Vive Verdi ! » Des gens du poulailler (places tout en haut de l’opéra) commencèrent à jeter des papiers remplis de messages patriotiques – certains demandant « Muti, sénateur à vie ».

          Bien qu’il l’eut déjà fait une seule fois à La Scala de Milan en 1986, Muti hésita à accorder le « bis » pour le Va pensiero. Pour lui, un opéra doit aller du début à la fin. « Je ne voulais pas faire simplement jouer un bis. Il fallait qu’il y ait une intention particulière. », raconte-t-il.

          Mais le public avait déjà réveillé son sentiment patriotique. Dans un geste théâtral, le chef d’orchestre s’est alors retourné sur son podium, faisant face à la fois au public et à M. Berlusconi, et voilà ce qui s'est produit :

[Après que les appels pour un "bis" du "Va Pensiero" se soient tus, on entend dans le public : "Longue vie à l'Italie !"]

Le chef d'orchestre Riccardo Muti : Oui, je suis d'accord avec ça, "Longue vie à l'Italie" mais...
[applaudissements]
Muti : Je n'ai plus 30 ans et j'ai vécu ma vie, mais en tant qu'Italien qui a beaucoup parcouru le monde, j'ai honte de ce qui se passe dans mon pays. Donc j'acquiesce à votre demande de bis pour le "Va Pensiero" à nouveau. Ce n'est pas seulement pour la joie patriotique que je ressens, mais parce que ce soir, alors que je dirigeais le Choeur qui chantait "O mon pays, beau et perdu", j'ai pensé que si nous continuons ainsi, nous allons tuer la culture sur laquelle l'histoire de l'Italie est bâtie. Auquel cas, nous, notre patrie, serait vraiment "belle et perdue".
Applaudissements à tout rompre, y compris des artistes sur scène]

Muti : Depuis que règne par ici un "climat italien", moi, Muti, je me suis tu depuis de trop longues années. Je voudrais maintenant... nous devrions donner du sens à ce chant ; comme nous sommes dans notre Maison, le théatre de la capitale, et avec un Choeur qui a chanté magnifiquement, et qui est accompagné magnifiquement, si vous le voulez bien, je vous propose de vous joindre à nous pour chanter tous ensemble.

C’est alors qu’il invita le public à chanter avec le Chœur des esclaves. « J’ai vu des groupes de gens se lever. Tout l’opéra de Rome s’est levé. Et le Chœur s’est lui aussi levé. Ce fut un moment magique dans l’opéra. »

« Ce soir-là fut non seulement une représentation du Nabucco, mais également une déclaration du théâtre de la capitale à l’attention des politiciens.


Extrait du blog d’Eva : r-sistons à la désinformation








Et encore des USA, la fameuse lettre de Jesse Ventura (ancien gouverneur du Minnesota), à la classe dirigeante :


        Vous contrôlez notre monde. Vous avez empoisonné l’air que nous respirons, contaminé l’eau que nous buvons, exigé des droits sur la nourriture que nous prenons.

Nous nous sommes battus dans vos guerres, nous avons perdu la vie pour vos causes, nous avons sacrifié nos libertés pour vous protéger. Vous avez dilapidé notre épargne, détruit la classe moyenne et vous avez utilisé nos impôts pour renflouer votre insatiable cupidité. Nous sommes les esclaves de vos sociétés, les zombies de vos diktats, les serviteurs de votre décadence.

Vous avez volé nos élections, assassiné nos leaders, aboli nos droits fondamentaux d’êtres humains. C’est vous qui possédez nos biens, qui avez délocalisé nos emplois, détruit nos syndicats. Vous avez profité des désastres, déstabilisé nos monnaies et alourdi le coût de la vie.

Vous avez monopolisé notre liberté, vous avez démoli notre éducation et avez pratiquement éteint la flamme de nos vies. Nous sommes blessés… nous sommes ensanglantés, mais nous n’avons plus le temps de saigner.

Nous allons mettre les géants à genoux et vous allez assister à notre révolution !

Sincèrement vôtre : Les serfs