samedi 9 juillet 2011

Démosophie - Inventions

          Si l'on interrogeait quelques érudits scientifiques sur les noms les plus exceptionnels de l'histoire de la science, sur ces "génies" qui ouvrirent de nouvelles portes à l'intelligence humaine, on citerait bien sûr des Pythagore, Archimède, De Vinci, Newton ou Einstein parmi beaucoup d'autres, mais deux hommes sortent complètement des normes, comme s'ils étaient venus d'un autre monde, comme s'ils disposaient d'une intelligence que plusieurs milliers d'années supplémentaires de civilisation procureront à l'humain. Ces deux hommes occupent une place exceptionnelle dans l'histoire de la science, il s'agit de Roger Boscovitch et de Nikola Tesla (coïncidence: tous deux d'origine Serbe).

          Si Roger Boscovitch était le précurseur d'Albert Einstein concernant la théorie de la relativité, sa théorie des "punta" commence à peine à faire ses premiers pas dans la science moderne par l'acceptation d'univers entremêlés, indépendants du temps comme de l'espace! Approches intellectuelles "étranges" sur lesquelles les scientifiques russes sont en avance sur le reste du monde, et dont les expériences récentes sur l'ADN confirment tout l'intérêt de cette nouvelle voie. (Pour ceux que cela intéresse, Gregg Braden est un excellent "vulgarisateur" qui sait utiliser des mots simples pour nous offrir une compréhension claire de concepts abscons, ici son explication de l'ADN fantôme).

          Nikola Tesla, lui, a laissé à l'humanité des centaines de brevets, dont certains dans le domaine de l'électricité sont exploités quotidiennement, alors que d'autres restent difficilement compréhensibles, et certains complètement sequestrés par les militaires. Ainsi le moteur à énergie magnétique dont il pose les bases, pourrait facilement avoir été développé de façon à nous offrir depuis déjà quelques années des véhicules de tous types fonctionnant selon d'autres lois que celles de la combustion. La recherche à partir des brevets de Tesla aurait naturellement conduit à la fabrication de "soucoupes volantes" depuis des décennies (et peut être est-ce le cas, mais comme cela entre dans les programmes ultra secrets du Nouvel Ordre Mondial, il faudrait pouvoir visiter la base 51 pour savoir à quoi s'en tenir). Il n'empêche qu'à partir de ces brevets, de nombreux développements sont possibles pour d'autres usages que militaires.

          Mis à part ces "génies", de très nombreuses inventions sont le fait d'amateurs, et très nombreux sont ceux qui se sont interessés à la création de moteurs sans essence. Bien sûr, les "accidents" survenus aux premiers ayant tenté de breveter leur invention ont fait réfléchir les autres, et des milliers d'inventions sont au placard simplement parce que leurs auteurs ont peur. Toutefois, il arrive parfois que certains bravent les dangers et utilisent la télévision pour démontrer la validité de leur invention, coupant l'herbe sous le pied aux officiels chargés d'étouffer les brevets dérangeants.

          Le premier connu d'entre eux est Arturo Estevez Varela, un espagnol, qui, au début des années 1970 fit de nombreuses démonstrations publiques de son moteur à eau monté sur une moto.
          Puis ce fut un philippin, Daniel Dingel, qui créa à son tour un moteur à eau au début des années 1980.

          Paul Pantone a ainsi pu démontrer la validité du moteur à plasma avant de se faire arrêter puis incarcéré par les autorités démocratiques des Etats-Unis, à la suite de quoi, il a été incarcéré dans un asile psychiatrique où l'on s'emploie à détruire sa raison (technique spécialement employée avec les gêneurs en France (comme ce fonctionnaire de la Monnaie qui voulait dénoncer des hauts politiciens) et aux USA, qui disposent de lois à cet effet).

          Stanley Meyer, lui, a inventé le moteur intégral à eau, malheureusement pour lui, dans le même pays démocratique... il est mort "étrangement" après avoir refusé les millions de dollars offerts pour "oublier" son invention (curieusement  comme beaucoup d'autres gêneurs, dont les deux astronomes américains qui allaient s'exprimer sur la planète X, il meurt d'un genre d'anévrisme cérébral quelques heures après avoir dìné au restaurant, et ce n'était même pas un macdo!).

          Parmi les autres systèmes de moteur à consommation réduite et non polluante: le moteur à eau de mer et le moteur electromagnétique sont déjà connus, même s'il est très difficile de s'en procurer les plans, en revanche il en existe encore d'autres encore plus révolutionnaires dont ceux qui pourraient se développer à partir du concept de la Magnétohydrodynamique .

-     Merci à Jean-Pierre Petit du CNRS s'il voulait bien nous éclairer sur ces sujets dont il est l'un des meilleurs spécialistes mondiaux, mais aussi, semble-t-il, qu'il serait capable de les vulgariser suffisamment pour les mettre à portée de la compréhension de tous.

-     Merci aussi à tous ceux qui ont des informations sur ce sujet essentiel de notre civilisation. l'énergie, de les communiquer à tous.

En attendant, il est positif de télécharger et conserver les plans du moteur à eau: (c'est long mais ça vaut la peine).

Nota: les plans du moteur à eau qui apparaissent sur le site concernent un ajout au moteur qui permet de consommer environ 50% d'eau. Cet ajout peut être réalisé avec les plans par un mécanicien ou un bon bricoleur. Tandis que les plans du moteur à eau intégral (le moteur fonctionne exclusivement avec de l'eau)nécessitent un ingénieur qui fabriquera un moteur.

dimanche 3 juillet 2011

Libye, les mensonges médiatiques

INDIGNÉ! Je suis indigné car je viens d'allumer la télé et d'entendre un ministre espagnol présenter les évènements en Libye, or c'est exactement le contraire de ce que j'apprends par des sources directes: les bombardements ont pour objectif essentiels les universités, les écoles, et les usines alimentaires, pour créer un climat de terreur de tuant les enfants et en provoquant la pénurie alimentaire! Alors avant décrire cet article, je jette un coup d'oeil sur la Presse libre de Thierry Messan (journaliste français qui peut dire la vérité puisque réfugié dans un pays du Moyen-Orient), et voici qu'il confirme personnellement les informations que j'obtiens par ailleurs (par des tunisiens aidant les réfugiés libyens):


Pour une fois, Thierry Meyssan ne nous livre pas une analyse froide des évolutions géopolitiques. Il relate les faits dont il est témoin : l’histoire de son ami l’ingénieur Khaled K. Al-Hamedi. Une histoire faite d’horreur et de sang où l’OTAN incarne le retour de la barbarie.


C’était une fête de famille à la libyenne. Tous étaient venus célébrer le troisième anniversaire du petit Al-Khweldy. Les grands parents, les frères et sœurs, les cousins et cousines se pressaient dans la propriété familiale de Sorman, à 70 kilomètres à l’ouest de la capitale : un vaste parc dans lequel ont été construites les petites villas des uns et des autres, de sobres maisons de plain-pied.
Aucun luxe tapageur, mais la simplicité des gens du désert. Une ambiance paisible et unie. Le grand-père, le maréchal Al-Khweldy Al-Hamedi, y élevait des oiseaux —C’est un héros de la Révolution qui a participé au renversement de la monarchie et à la libération du pays de l’exploitation coloniale. Tous sont fiers de lui—. Le fils, Khaled Al-Hamedi, président de l’IOPCR, une des plus importantes associations humanitaires arabes, y élevait des biches. Une trentaine d’enfants couraient en tous sens au milieu des animaux.
On préparait aussi le mariage de son frère Mohammed, parti sur le front combattre les mercenaires étrangers encadrés par l’OTAN. La cérémonie devait avoir lieu ici aussi dans quelques jours. Sa fiancée était déjà radieuse.
Personne n’avait remarqué que, parmi les invités un espion s’était infiltré. Il faisait mine d’envoyer des twitters à ses amis. En réalité, il venait de déposer des balises et il les reliait par le réseau social au QG de l’OTAN.
Le lendemain, dans la nuit du 19 au 20 juin 2011, vers 2h30 du matin, Khaled rentre chez lui après avoir visité et secouru des compatriotes qui fuient les bombardements de l’Alliance. Il est assez proche de sa maison pour entendre le sifflement des missiles et leurs explosions.
L’OTAN en tire huit, de 900 kilos chacun. L’espion avait placé les balises dans les différentes villas. Dans les chambres à coucher des enfants. Les missiles sont tombés à quelques secondes d’intervalles. Les grands parents ont eu le temps de sortir de leur maison avant qu’elle ne soit détruite. Il était déjà trop tard pour sauver enfants et petits-enfants. Lorsque le dernier missile a frappé leur villa, le maréchal a eu le réflexe de protéger son épouse de son corps. Ils venaient de franchir la porte et ont été projetés par le souffle de l’explosion une quinzaine de mètres plus loin. Ils ont survécu.
JPEG - 28.6 ko
La demeure familiale des Al-Hamedi bombardée par l’OTAN.
© Franklin Lamb / Réseau Voltaire
Quand Khaled arrive, ce n’est que désolation. Sa femme, qu’il avait tant aimée, et l’enfant qu’elle portait ont disparus. Ses enfants pour lesquels il aurait tout donné, ont été broyés par les explosions et l’effondrement des plafonds.
Les villas ne sont que ruines. Douze corps déchiquetés gisent sous les décombres. Des biches touchées par les éclats agonisent dans leur enclos.
Les voisins qui ont accouru cherchent en silence des preuves de vie dans les gravois. Mais il n’y a aucun espoir. Les enfants n’avaient aucune chance d’échapper aux missiles. On extrait le cadavre décapité d’un bébé. Le grand-père récite des versets du Coran. Sa voix est ferme. Il ne pleure pas, la douleur est trop forte.
À Bruxelles, les porte-parole de l’OTAN ont déclaré avoir bombardé le siège d’une milice pro-Kadhafi afin de protéger la population civile du tyran qui la réprime.
Nul ne sait comment la chose avait été planifiée par le Comité des cibles, ni comment l’état-major a suivi le déroulement de l’opération. L’Alliance atlantique, ses généraux tirés à quatre épingles et ses diplomates bien pensants, ont décidé d’assassiner les enfants des familles des leaders libyens pour casser leur résistance psychologique.
JPEG - 26 ko
Khaled Al-Hamedi sur les tombes de ses enfants et de son épouse.
© Franklin Lamb / Réseau Voltaire
Depuis le XIIIe siècle, les théologiens et les juristes européens prohibent l’assassinat des familles. C’est un des fondements même de la civilisation chrétienne. Il n’y a guère que la mafia pour passer outre ce tabou absolu. La mafia, et maintenant l’OTAN.
Le 1er juillet, alors qu’1,7 million de personnes manifestaient à Tripoli pour défendre leur pays contre l’agression étrangère, Khaled est allé sur le front apporter du secours aux réfugiés et aux blessés. Des snipers l’y attendaient. Ils ont tenté de l’abattre. Il a été gravement touché, mais selon les médecins ses jours ne sont pas en danger.
L’OTAN na pas fini sa sale besogne.