jeudi 30 juillet 2015

Cancer: encore un médecin mort pour avoir soigné!

 
Il y a plus de 50 ans, le Dr Fernando Chacón Mejías dont les concepts étaient proches de ceux de René Quinton découvrait le BIO-BAC qui prouvait rapidement son efficacité dans le traitement du cancer, du sida et d'autres maladies graves. Les grands laboratoires mirent en oeuvre les grands moyens pour interdire ce produit et finirent par obtenir gain de cause grâce à la complicité des politiciens espagnols. Aujourd'hui, sur le même concept, d'autres médecins sont en difficulté parce qu'ils veulent guérir, ce qui va à l'encontre des intérêts de Big Pharma.


Article provenant de "Resistance 71
Original:
http://www.infowars.com/how-maverick-cancer-treatments-are-suppressed-by-the-mainstream/

 Le Dr Jeffrey Bradstreet mentionné ci-dessous a été retrouvé mort dans une rivière le 19 Juin 2015 après que les services de la FDA et des narcotiques aient perquisitionné sa clinique. Un pêcheur a retrouvé son cadavre. Cause du décès: blessure à la poitrine causée par arme à feu. La police locale a conclu à un suicide… A la lecture de l’article, tout à chacun peut se poser des questions. Une autre victime de la “phase élimination” de la dissidence ?…

La médecine orthodoxe (allopathique) joue un sale jeu en fait pour défendre son quasi-monopole sur le traitement du cancer, laissant derrière elle une litanie de traitements anti-cancer très prometteurs qui sont ignorés et supprimés dans son sillage. Pour illustrer ceci, le Dr Stanislaw Burzynski est peut-être sur le point de découvrir une nouvelle avancée dans son développement du traitement anti-néoplaste et ses luttes offrent une véritable leçon au sujet des essais en réserve pour une autre thérapie très prometteuse, celle impliquant des Facteurs Macrophages Activant connus sous le vocable de Gc-MAF

Le reconnu Dr B
Vous avez peut-être déjà entendu parler du Dr Stanislaw Burzynski, le chercheur qui a découvert les anti-néoplastes. Non seulement son travail a-t-il reçu une importante attention des médias et de la blogosphère, à la fois de manière favorable et hostile, mais il est déjà le sujet d’un documentaire avec une suite programmée. Il y a une bonne raison à cette visibilité: à l’encontre de bien des chercheurs sur le cancer qui choisissent d’agir en dehors du modèle de l’orthodoxie et de sa trilogie mortifere du “couper, empoisonner, brûler”, le Dr Burzynski a tenu bon contre tout ce qui lui a été jeté à la figure et en plus, il semble gagner la bataille.

Que sont les anti-néoplastes ?
Succintement, ce sont des composants protéiniques connus sous le nom de peptides, que le Dr Burzynski pense avoir un double rôle dans la prévention du cancer. De ses propres mots: “Le corps humain possède…. des interrrupteurs moléculaires, dont certains éteignent les oncogènes et d’autres qui allument des gènes suppresseurs de tumeur. Ces interrupteurs physiologiques sont appelés anti-néoplastes, qui sont des peptides et des dérivés d’amino-acides (protéines) se produisant naturellement dans le corps, dans le sang et l’urine et que le corps humain utilise naturellement pour contrôler la croissance des cellules cancéreuses… Le nom d’anti-néoplastes vient de leur fonction de contrôle néoplastique ou de contrôle des cellules cancéreuses et donc sont ces agents cellulaires anti-néoplastes.

Marqueurs anti-néoplastes
L’histoire du Dr Burzynski est longue, impliquée et à couper littéralement le souffle. Brièvement, c’est l’histoire de la détermination d’un homme pour amener un traitement anti-cancer très prometteur sur le marché et ce malgré la campagne d’intimidation sans relâche menée par le gouvernement des Etats-Unis, le harcèlement, le sabotage et les tentatives de vol de patente. Pour simplifier les choses, nous avons établi une liste d’évènements majeurs ayant eu lieu dans la lutte permanente du Dr Burzynski pour amener les anti-néoplastes à l’attention du public et à les mettre à sa disposition. Vous pouvez télécharger cette liste ci-dessous:
download here.

Burzynski sur Burzynski
Cette histoire simplement époustoufflante est la mieux résumée par une citation du Dr Byrzynski lui-même: “L’approche entière de la médecine orthodoxe est complètement fausse: elle est fondée sur le diagnostique microscopique du cancer qui vieux d’environ 160 ans. Sans vraiment regarder ce qui cause le cancer, sans vraiment regarder la signature génétique du cancer… Tout ceci est une perte tragique, un gaspillage de ressources, un terrible gaspillage de vies hymaines parce que dans le même temps ces patients ne vont évidememnt pas répondre alors qu’ils le pourraient s’ils recevaient la bonne médecine… C’est une approche totalitaire, qui est bonne bien sûr pour l’industrie pharmaceutique parce qu’elle fait des milliards de dollars ainsi… mais tout ceci est bien mauvais pour les patients.

Gc-MAF: anti-néoplastes mark II?
En 1993, Nobuto Yamamoto, qui travaillait alors à la Temple University School of Medicine in Philadelphia, PA, USA, fut le premier à décrire une molécule assez remarquable. Son article rapportait la conversion de vitamine D3 et des ses liaisons protéiniques (DBP, connues chez l’homme comme Gc) en un facteur activant macrophage très efficace (FAM ou MAF en anglais), connu sous le nom de Gc-MAF (acronyme anglais). Les macrophages sont des composants clefs du système immunitaire humain qui ont deux rôles: attaquer et détruire les agents pathogènes ainsi que les débris cellulaires et recruter d’autres cellules immunitaires pour répondre à la source pathogène.
Les macrophages sont cruciaux à la fois pour l’immunité non-spécifique et l’immunité adaptative spécifique. Sous des circonstances normales, Gc-MAF ne sont pas régulée lorsque le système immunitaire détecte une menace, “activant” les macrophages de façon à ce qu’ils puissent poursuivre les pathogènes par eux-mêmes Les cellules cancéreuses, cibles principales des macrophages, sont de petites créatures intelligentes qui sécrète un enzyme particulier: l’alpha-N- acetylgalactosaminidase ou nagalase, qui désactive les Gc-MAF, empêchant ainsi les macrophages de s’activer, ce qui protège les cellules cancéreuses. L’administration de Gc-MAF est proposée pour court-circuiter la nagalase, stimulant ainsi les macrophages qui s’activent et attaquent alors les cellules de la tumeur. En d’autres termes, elles sont un immuno-modulateur très efficace, un peu comme des anti-néoplastes.

Pourquoi donc la vaste majorité d’entre nous n’en avons jamais entendu parler ?
A l’encontre des anti-néoplastes, les Gc-MAF n’ont pas reçu le bénéfice d’un propriétaire de patente unique, car en tant que molécule naturelle, elle ne peut pas être brevetée sans avoir été modifiée, Le détenteur du brevet devrait avoir la volonté et les ressources de pousser l’affaire sous le nez des autorités de santé publique. Le Dr Yamamoto avait fait quelques essais humains sur les cancers du sein, de la protaste et du colon et ce avec des résultats très prometteurs. Mais il n’est en aucun cas pas seul, comme David Noakes souffre à le dire: “Il y a de meilleures recherches que celles du Pr. Yamamoto ces jours-ci, elles sont toutes sur notre site internet”, a t’il dit.
David Noakes est peut-être la personne qui amènera les Gc-MAF aux yeux du grand public. Il est le PDG d’ Immuno Biotech Ltd. Et le porte-parole pour First Immune Gc-MAF, un projet qu’il décrit comme “Des biochimistes et scientifiques biomédicaux, PhD, BSc… avec des médecins externes, des oncologues et des scientifiques qui nous conseillent gentiment, tous motivés pour amener aux plus de personnes possible quelques uns des traitements à succès dont les recherches ont été publiées mais qui demeurent relativement inutilisés par la médecine orthodoxe.” En ce moment même, Noakes et ses collègues fournissent des Gc-MAF à plus de 30 pays où cela est légal, au travers d’un “réseau comprenant environ 300 médecins”. Leur Gc-MAF est faite suivant de très hauts standards et est utilisé dans une recherche clinique permanente par Noakes et ses collaborateurs et bien d’autres. Leur but ultime est de “construire l’affaire pour montrer que les Gc-MAF sont efficaces pour différentes maladies, ce qui aidera à rendre cette thérapie disponible pour le public.

Une montagne à gravir
Noakes ne se fait aucune illusion sur la lutte dans laquelle il s’engage, comme il l’explique sur ANH-Intl: “Les médecins, les spécialistes du cancer en particulier, savent ce qu’ils auront à affronter dans des pays comme les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Dans tous les Etats-Unis, il n’y a qu’un seul médecin, – Jeffrey Bradstreet, MD – qui jusqu’ici s’est préparé à sauter le Rubicon au sujet du Gc-MAF. Beaucoup d’autres prennent une attitude prudente mais pragmatique ; ils peuvent dire à leurs patients: “allez-y faites le, mais ne me dites rien !..”

Cul-de-sac à Guernesey
Récemment, Noakes a demandé aux autorités de l’île de Guernesey si elles accepteraient que First Immune Gc-MAF produise le produit en paix et tranquilité, dans son propre laboratoire, espérant tirer avantage de l’attitude très libérale des autorités de l’île et de leur exemption des lois de l’UE. “Nous avons même offert de traiter les enfants autistes de Guernesey avec notre Gc-MAF gratuitement, et quiconque aurait une maladie infectieuse au tiers du prix normal. Mais ils ont refusé !” rapporte t’il avec dégoût. “Guernesey a même déclaré Gc-MAF être un médicament interdit, à l’encontre du reste du monde. Il est triste de constater que Dubaï est un meilleur environnement pour la production et la distribution d’un traitement médical potentiellement sauveur de vie que ne le sont l’île de Guernesey, le Royaume-Uni ou les USA, voilà, c’est dit.
Dans un monde marchant sur les mains, il n’y a rien de plus à l’envers que la recherche sur le cancer, comme viennent de le confirmer ces deux histoires. Mais chacun devrait être encouragé de voir que le Dr Burzynski est sur le point de faire plier le système américain. Nous souhaitons de tout cœur que le Dr Burzynski, David Noakes et ses collaborateurs aient la chance de pouvoir amener ces traitements potentiellement révolutionnaires au public et dans les mains du plus grand nombre de patients malades du cancer possible.

La vraie solution: elle réside dans le concept de santé offert par le